A l’instar d’assurance mutuelle pour humain, celle des animaux a fini par s’installer dans la société, surtout en Europe. Elle fonctionne, comme la sécurité sociale pour les humains et le remboursement se fait à hauteur de 80 % en moyenne, mais dépendant de la formule choisit par le propriétaire. Bien entendu, une cotisation annuelle sera à faire, avec un tarif fixe sans tenir compte de la race et du genre d’animal. Par exemple, un propriétaire de chat payera la même somme qu’un possesseur de berger allemand. Une mutuelle d’assurance animaux s’agit ainsi d’une question de tranquillité d’esprit tant pour le maître que pour le vétérinaire. Or, c’est aussi un engagement qui met en valeur l’animal. En effet, ces contrats spéciaux pour animaux gagnent de plus en plus de terrain dont 5 % en France, 20 % au Royaume-Uni et 80 % en Suède.
Est-ce obligatoire d’assurer son animal ?
Avant tout, cette assurance est en mesure de couvrir les maladies, les accidents et peut aussi couvrir les castrations ou vaccins, en fonction du contrat. Le principe est simple, plus votre l’assurance couvre beaucoup de choses, plus elle coûte cher. En outre, une animale de compagnie fait dépenser en moyenne 800 €, et notamment en matière de vétérinaire. Ainsi, en adoptant un contrat d’assurance, vous pouvez bénéficier d’une prise en charge sur les soins vétérinaires, les radiologies, les opérations chirurgicales et même sur le transport ambulancier. Cependant, cette assurance n’est pas une obligation civile.
Un comparateur d’assurance animaux, est-ce nécessaire ?
Le plus souvent, ces compagnies d’assurance pour animaux privilégient les animaux qui représentent un faible risque, car plus ils sont jeunes, moins le risque est élevé. Or, mettent autant en écart les races qui s’exposent à des pathologies fréquentes. En conséquence, il pourrait y avoir des clauses d’exclusion. Pour cette raison, il est préférable de lire attentivement les termes du contrat avant de se lancer. Alors, n’hésitez pas à recourir à un comparateur d’assurance animaux.